Deva / Emmanuelle Krystel Nahon

"Je partage mon expérience. Les faits sont prouvés par des courriels, SMS, et rapports médicaux. Alors qu’on vivait une relation sentimentale, elle m’a proposé alors que je n’en avait jamais émis la demande, de devenir gracieusement ma thérapeute, dans l’objectif intéressé de me faire « évoluer » On s’est séparés en bons termes – nous entretenions une relation tout à fait cordiale. (Echanges de SMS). Les sessions d’EMDR se sont donc poursuivies jusqu’au 20 février 2019 A cette date, elle a mis en place un ancrage. Il est impossible de se défaire seul d’un ancrage de ce type. Dans mon cas, elle a décidé de me relier à l’une de mes anciennes compagnes, décédée à mes côtés, pendant mon sommeil, lorsque j’étais très jeune, avec les mots « je suis accompagné ». Alors que je ne disposais plus d’aucune défense psychologique, ce mécanisme a été totalement dévastateur : nuits et jours, l’image de cette jeune femme décédée m’apparaissait avec les mots « je suis accompagné » et j’ai commencé quelques heures plus tard, à éprouver des envies suicidaires. Je l’ai appelé à l’aide à de très nombreuses reprises. Cette psychologue a brutalement décidé de mettre un terme à son accompagnement thérapeutique sans préavis, me laissant dissocié et suicidaire. Elle a refusé de m’aider, de m’orienter vers un confrère, ou aux urgences hospitalières; me disant d’aller voir deux gourous sur internet. Elle m'a manipulé, me faisant croire que j'avais un problème de séparation. Ce ghosting qu’elle continue encore aujourd’hui m’a maintenu en dépression pendant 5 ans. Alors qu’il lui aurait suffit de prendre une heure de son temps pour désactiver cet ancrage. Résultats : dissociation, graphomanie, incohérence dans mes propos et mes actes, pertes de mémoire, grave dépression pendant 5 ans, envies suicidaires pendant 2 ans, insomnie. Un traumatisme non traité maintient l’amygdale dans le cerveau en état d’alerte, provoquant un stress post-traumatique, dépression et envies suicidaires. La douleur psychique est tellement intense qu’elle devient une douleur physique permanente. J’ai été déclaré handicapé mental à partir de février 2019, pour des troubles cognitifs qui sont devenus irréversibles : perte de la mémoire immédiate, perte du sens spatio-temporel, difficulté de nouveaux apprentissages. Perte de concentration. Spécialiste des psycho-traumatismes depuis 25 ans, elle ne pouvait ignorer le rôle de l’amygdale dans le cerveau, ni les effets dévastateurs de ses actes. Car cela fait partie de son cœur de métier. Elle savait que l’interruption brutale à un moment clé de la thérapie et le « ghosting » aggraveraient mon état, me maintenant dans une torture psychologique volontaire. Le ghosting cause dépression, SSPT, et désespoir en privant la victime de soutien et de closure. Dans un contexte thérapeutique, après un EMDR avorté, il équivaut à une torture psychologique permanente, jours et nuits. Un effet qu’une experte comme elle connaissait parfaitement. Alors que j’étais incohérent et pas dans mon état normal (graphomanie, dissociation), elle a déposé des plaintes à répétition contre mes appels à l’aide désespérés, pour me discréditer et m’enfoncer davantage au tribunal, malgré mes attestations médicales en sa possession. Matériellement, je survis avec le minimum vieillesse et des colis alimentaires, je n’ai pas de chauffage en hiver depuis plusieurs années, ni eau chaude. Donc je suis très loin de laisser tomber cette histoire plus de sept ans après, même si j’ai refais ma vie. Car chaque jour que je passe sans que je puisse m’acheter à manger, ou me chauffer, me rappelle ce qu’elle m’a fait subir : La torture psychologique, la douleur physique, la perte irréversible de mes facultés cognitives, l'incapacité de travailler depuis plus de sept ans, les mensonges à tout son entourage et au tribunal, la malveillance, en utilisant ses outils thérapeutiques et ses connaissances en psychologie de façon dévoyées, pour détruire ma vie à tous les niveaux. Et l’instrumentalisation de l’institution judiciaire. Pour l’instant les plaintes au pénal sont en cours."

"Merci pour votre professionnalisme et votre bienveillance qui m'ont permis d'avancer sur mon chemin de vie bien souvent cahoteux. Je ne peux que vous recommander. A.M"

"Super psychologue, suivie depuis quelques mois, déjà pas mal de problématiques réglées. Son utilisation de l’EDMR est un vrai plus aux séances. Je recommande fortement."

"Je recommande vivement, très agréable, contact facile et fluide. Endroit très chaleureux, on se croirait dans un cocon et du coup on se sent en sécurité et protégé."